Tous ensemble face au cancer

La communauté scientifique, et notamment la médecine, s’est fait l’écho depuis quelques années déjà, d’expériences positives résultant de l’amour et la prière dont peuvent être entourés certains malades face au cancer.

Le médecin Larry Dossey pense que nous sommes à l’orée d’un nouvel âge. Une époque qui se caractérise déjà par tous les ponts jetés entre les différentes disciplines ainsi entre médecin et patient, science et religion, corps et conscience, médecine et arts, matière et esprit, homme et animal. Une vision d’avenir fascinante se dessine d’après le docteur Dossey lui-même.

Notamment à l’issue de la deuxième guerre mondiale, on s’aperçut des effets de la psyché sur le corps : des milliers de soldats étaient revenus chez eux dans un tel état de délabrement intérieur qu’ils ne pouvaient plus fonctionner normalement.

Dans les années qui suivirent, des expériences montrèrent que des rats et des souris enfermés dans de petites cages et soumis à des influences stressantes développaient des ulcères gastriques et duodénaux, souffraient d’ennuis cardiaques, d’hypertension et la plupart du temps finissaient par mourir.

0n se rendit compte que l’immunité de personnes qui venaient de perdre un des leurs, diminuait. A l’inverse, on s’aperçut qu’une relation amoureuse avait des effets bénéfiques et que la méditation et la prière amélioraient l’état de santé général.

C’est alors que se profile lentement une nouvelle époque. De nouvelles expériences suggèrent que le processus de guérison peut être favorablement influencé par des pensées aimantes et des prières, même lorsque les patients ne sont pas au courant eux-mêmes de ces pratiques. En moins de deux générations, les apports de la médecine alliant le corps et l’esprit acquirent une place de choix à côté de la médecine de l’époque.

On estima alors qu’une partie de notre conscience peut sortir des limites de notre cerveau et de notre corps et agir partout quelle que soit la distance. Il fut en outre admis que l’aspect «non localisé» de notre conscience offre de nouvelles possibilités d’aider les autres et ajoute un élément collectif à notre pensée.

Au cours d’un colloque qui, en 1997, réunissait une centaine de chercheurs à l’université d’Harvard, les psychologues Laurence Le Shaw et Bernard Grad de l’université Mac Gill de Montréal vinrent témoigner des résultats de leurs recherches. L’un et l’autre mirent en évidence les nouvelles possibilités d’aider les autres par l’aspect «non localisé» de notre conscience.

En d’autres termes, ils expliquèrent l’influence de la disposition d’esprit d’un expérimentateur sur la croissance de plantes ou la guérison des animaux, démontrant comment pensées et intentions positives peuvent influencer de manière «non locale» la guérison des blessures, voire des tumeurs. Et ceci, sans que les participants – médecins y compris – ne mettent en doute la véracité des résultats décrits.

Le docteur Elisabeth Targ, psychiatre et directeur de la recherche psychosociale ontologique ainsi que ses collègues de California Pacific Medical Center de San Francisco, le Docteur Helen S. Smith, directeur de l’Institut Géraldine Brush pour la recherche sur le cancer et professeur à la faculté de médecine de l’université de Californie, Fred Sicher, directeur du laboratoire des recherches sur la conscience de Ausalito et le Docteur Moore du département statistique de cette même faculté décrivirent par ailleurs, leurs différentes recherches sur les effets de la prière à distance sur des malades du sida, ceux-ci ayant ignoré si l’on priait ou non pour eux.

Quarante volontaires originaires des Etats-Unis et du Canada, de groupes, de cultures et de religions les plus divers, ayant en moyenne 17 années d’expérience chacun, furent appelés à traiter à distance, un patient malade du sida depuis longtemps, en cours de soins médicaux et choisi dans l’un des deux groupes désignés pour l’expérience. En possession d’une photo du patient qu’il devait traiter mais ne connaissant que son seul prénom, le «priant» devait consacrer à son patient, une heure par jour et six jours par semaine, durant dix semaines.

Chaque semaine les patients devaient être soignés par un «priant» différent. La moitié seulement des malades retenus furent traités à distance sans le savoir. Après prises de sang et tests psychologiques au début et à la fin de l’expérience, les résultats montrèrent des différences significatives entre les deux groupes. Les patients traités à distance avaient moins souffert des maladies associées au sida. Les troubles dont ils souffraient étaient moins graves et ils avaient passé moins de jours à l’hôpital, tout en étant dans de bien meilleures dispositions psychiques que les patients non traités.

Beaucoup d’autres expériences furent présentées lors de ce colloque. Le fait qu’elles furent rapportées sous les auspices d’Harvard les met hors de doute. Aucun des participants – médecins y compris – ne contesta la véracité des résultats énoncés. Ceux-ci laissent donc supposer :

1. que nos émotions ont une influence positive ou négative sur le processus de guérison.

2. qu’il est possible de transmettre ces influences dans la mesure où nos émotions s’imprègnent d’un mécanisme non encore expliqué par la science.

La conclusion générale de tous ces scientifiques fût de constater que le dénominateur commun de toutes ces expériences n’était autre que l’amour, cet état de compassion si authentique et si profond qu’il supprime toutes les barrières intimes dont nous nous entourons.

Depuis ces expériences, de nombreux ouvrages, notamment en France, ont été consacrés aux bienfaits de la prière sur les malades.

Bibliographie :
– Reinventing Medicine de Larry Dossey 1999 Harper et Collins New York

Cette brève relation ne concerne que les tout premiers travaux scientifiques sur les effets de la prière. De nombreuses autres références existent et peuvent être consultées sur internet, notamment des bases de données bibliographiques reconnues et internationales.

Reconnaissance de l’harmonisation
Dans plusieurs pays, de nombreux médecins ont constaté les bienfaits de l’harmonisation. C’est le cas notamment en Allemagne où l’harmonisation est prescrite officiellement par des médecins depuis plus de dix ans dans certains hôpitaux ou cliniques, et où l’Invitation à la vie est reconnue d’utilité publique. Certains professeurs, ainsi que des médecins recommandent l’harmonisation pour leurs malades atteints du cancer, en complément de leurs traitements médicaux.

Plus loin de nous, en Colombie, un ancien professeur de cardiologie de la faculté de médecine de Paris, ancien chercheur à l’INSERM, ancien directeur de recherche au CNRS, et actuellement professeur à l’Université nationale de Colombie, chef des services de cardiologie et des soins intensifs dans un hôpital de Bogota, atteste des avantages de l’harmonisation. Cet éminent professeur prône l’existence d’une programmation universelle des cellules et convient que la médecine bioénergétique est fondée sur la compréhension et l’inter-dépendance du vivant.

En conséquence, il préconise ce qu’il appelle l’exploration de nos «laboratoires intérieurs » pour connaître l’être véritable intégré à toutes les forces de l’univers, donc à la conscience universelle divine. Dans cette optique, l’harmonisation lui apparaît comme un précieux facteur de soins de «ces énergies subtiles dont le dysfonctionnement fait que l’on tombe malade».

De nombreux témoignages, venant du monde entier ont pu être recueillis par un médecin français sur les bienfaits de l’harmonisation.

«Nos difficultés deviennent oeuvres de paix. Sachons persévérer dans chacun de nos mouvements, de nos attentes.»

«Ne tombons pas dans l’orgueil. Sachons que nous n’y sommes pour rien, mais que nous avons su trouver Dieu dans chaque instant de nos vies. C’est le bonheur.»

«L’âme est une énergie d’amour. Quand elle parle à quelqu’un, c’est par l’amour.»

«Et nous, que sommes-nous? Nous sommes des semeurs. Nous semons les graines de l’amour de-ci, de-là. Nous semons les graines de consolation, d’apaisement, de tendresse, de douceur.»
Tenons-nous la main, et formons une chaîne de solidarité!